Prenez le contrôle de votre patrimoine
Alors que les GAFA (pour Google, Amazon, Facebook, Apple) ont pris une place centrale dans le commerce, la nouvelle ère digitale ouvre de nombreux défis notamment pour les acteurs retails traditionnels. Une convergence des mondes est-elle possible ? Dans tous les cas, la mutation, les investissements et les financements nécessaires s’annoncent massifs.
L’équipe de WeShareBonds s’est entretenue avec Éric Lainé. Il est président et fondateur de Crédit Courtier de France, réseau de franchises spécialisées en crédit immobilier, fondé en 2014. Il répond à toutes nos questions sur le métier de courtier lors de cette interview.
L’ISF a disparu, place aux frais sur les dépôts ! Cette tendance déjà présente en Europe devrait bientôt concerner la France, tout en restant pour l’instant limité aux patrimoines les plus importants. La Banque Lombard Odiera ainsi pris les devants en annonçant son intention d’appliquer des frais sur les dépôts. Soit une pénalité sur les comptes dont le solde serait supérieur à 1 million d’euros.
Parmi les différents projets en collecte sur WeShareBonds, le dernier en date est La Boîte aux Enfants, qui exploite des aires de jeux, dont certains sous la marque « Gulli Parc », Gulli étant la marque préférée des familles. Nous avions précédemment financé le groupe SNTP, photographe scolaire, et le réseau de crèches « Crèches Expansion ». A l’heure où l’on parle de vieillissement de la population et de « silver économie », un business né. Le segment des plus jeunes et le business autour de l’enfance reste un secteur important avec de multiples facettes. Les segment des services notamment, a permis l’émergence de véritables «success-stories « , par exemple les réseaux de crèches. Babilou (avec 500 m€ de chiffre d’affaires visé dans le monde en 2020, soutenu récemment par le fonds TA Associates), suivi de près par les « Petits Chaperons Rouges ». Le géant Sodexo s’étant lui emparé de Crèche Attitude). Focus sur ces « business autour de l’enfance »
La crise du Covid-19 – qui on l’espère tous s’estompera en 2021 ! – a mis au premier plan l’importance de la logistique. Dans une économie par ailleurs partiellement sclérosée, les nouvelles contraintes ont poussé de nombreux secteurs (restauration, commerces, distributeur) à innover et à modifier leur mode de distribution en développant par exemple la livraison.
Les plus agiles dans le domaine, comme Amazon, ont su en tirer parti. Avec notamment le développement de l’e-commerce qui s’est accéléré avec la crise. À la clé, de nouveaux modes d’organisation mais également des répercussions sur un des segments de l’immobilier, celui des entrepôts et des plateformes logistiques. L’occasion d’un focus sur deux sociétés financées récemment sur WeShareBonds. La foncière Soremi qui a réalisé une opération de marchand de biens sur des entrepôts, et la société Ontime ; un des leaders du transport et de la logistique en Espagne qui cherche actuellement à lever jusqu’à 1 million d’euros.
L’innovation ne se résume pas aux changements radicaux dits de rupture. Certaines start-ups, comme Yelloan, arrivent à bouleverser des marchés matures en changeant le paradigme ou en élargissant le marché vers des populations exclus de l’offre standard.
Alors que l’économie mondiale est tombée quasiment à l’arrêt dans de nombreux secteurs du fait du confinement, l’e-commerce a pu profiter de sa position pour continuer à fonctionner et accroitre ses parts de marché. Que nous disent les derniers chiffres ? Au-delà du court-terme, la crise joue-t-elle un rôle d’accélérateur de tendances à plus long-terme ?
À la suite de la publication de ses derniers chiffres financiers, et de prévisions de fin d’année jugées mitigées, le géant de l’internet, Amazon, a connu une baisse de 15% de son cours sur le Nasdaq en deux jours. Si cela continue, sa capitalisation pourrait même bientôt représenter moins de… 50 fois la capitalisation boursière de Carrefour. Champion de la « data », du « cloud » et doté d’une machine logistique et marketing sans faille, le champion américain symbolise à lui seul le mouvement de digitalisation de l’économie et son impact sur le commerce. Dans cette bataille, les « retailers » sont en première ligne. Une fois le constat passé, le mouvement semble lancé et incontournable, alors que la digitalisation peut offrir une réponse aux nouvelles attentes des consommateurs. Une réflexion est sans doute à mener sur une convergence des mondes physique et digital ? Les investissements nécessaires seront massifs, et toutes les pistes de financement (traditionnel et alternatif comme le crowdfunding) devront être exploitées.
Si vous en avez assez d’entendre quotidiennement parler des retraites, des syndicats et de la grève de la SNCF… À l’occasion du financement du projet SARL Paurion Freddy, entreprise d’excellence spécialisée dans les charpentes, experte dans la rénovation du Patrimoine, faisons un focus sur le phénomène méconnu du compagnonnage.
Des les années 70, l’américain Herbert Simon futur prix Nobel d’économie et l’un des précurseurs de l’Intelligence Artificielle, avait mis l’accent sur les processus décisionnels face à une surabondance de source d’information. Dans un monde où règne la data, les usages sont désormais multiples. Ce qui ne doit pas occulter les questions sur les limites du système.
La France reste l’un des champions de l’agroalimentaire. Le succès de « La Ruche qui dit oui » ou la marque « C’est qui le patron ? » témoigne d’une hausse des « consommacteurs ». L’un des premiers projets financés sur WeShareBonds était d’ailleurs la maque bio Les Cidres Premium. Actuellement, 2 projets liés au secteur agroalimentaire sont en cours de financement sur WeShareBonds. Premièrement Pokawa, un concept innovant à forte croissance, mêlant restauration, livraison à domicile ethealthy food et France Cake Tradition, un acteur spécialisé dans la pâtisserie industrielle bio. Ces différents projets témoignent chacun des nouvelles tendances de consommation. L’occasion pour WeShareBonds de faire le point sur les nouvelles filières qui se développent.
Depuis le début de la crise sanitaire lié au Coronavirus, le monde du sport est complétement à l’arrêt. Tous les événements sportifs, amateurs comme professionnels, sont annulés ou reportés. Les Jeux olympiques, le Championnat d’Europe de football, le Tournoi de Wimbledon… ces événements sportifs majeurs n’auront pas lieu en 2020.
Nous allons nous intéresser aux conséquences économiques de cette situation inédite sur un secteur en croissance depuis plusieurs années.
Dans le contexte de crise que nous traversons, les entreprises exportatrices face au COVID-19 sont fortement impactées par le ralentissement économique mondial. Afin de soutenir nos entreprises, le ministre de l’Économie a annoncé un plan de soutien à ces entreprises exportatrices. Cette nouvelle mesure vient renforcer le dispositif mis en place par le gouvernement pour venir en aide aux PME et ETI.
Le plan d’urgence de soutien aux entreprises exportatrices face au Coronavirus, annoncé par Bercy le mardi 31 mars contient « quatre mesures exceptionnelles » pour soutenir la trésorerie des PME et ETI exportatrices. Bruno Le Maire a annoncé que ce plan a pour objectif d’aider notamment les PME à « préserver leurs positions à l’international ».
Quelles sont les 4 mesures du plan d’urgence aux entreprises exportatrices face au Coronavirus ?
La crise sanitaire du coronavirus a eu un impact fort sur l’économie mondiale et a notamment perturbé la chaîne logistique internationale. Suite au blocage des vols transatlantiques et aux mesures de confinement qui s’étendent en Europe, les sociétés de transports rencontrent certaines difficultés. Un retour à la normale n’est pas attendu avant 2021, voire 2022.
Un secteur agroalimentaire qui résiste, des équipements médicaux en plein boom, l’e-commerce face à de nombreux défis et les « drive » qui s’imposent sont des évolutions que l’on a pu déjà observer. Cependant, des usages tels que la livraison à domicile et une adoption plus large des plateformes « cloud » pourraient également s’imposer comme des tendances de fond. Deuxième partie sur les secteurs qui résistent au Covid-19.
La question de l’intelligence artificielle et coronavirus (IA) revient régulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Son utilisation aurait-elle pu nous permettre d’anticiper la crise ? Comment en tirer profit maintenant pour gérer au mieux le déconfinement ? Nous revenons sur le concept avant de tenter de répondre à ces questions.
L’INSEE vient de publier sa dernière note mensuelle de conjoncture. Celle-ci prévoit sur la fin de l’année une stabilisation de l’activité économique globale en France à un niveau de -5% en dessous de celui d’avant la crise.
L’impact du covid-19 se mesure chaque jour sur certaines activités telle que la restauration ou l’industrie du divertissement et de la culture. De façon moins conjoncturelle, les modifications de l’organisation du travail, notamment avec le télétravail des cols blancs, commencent à se faire sentir sur le marché des bureaux. Quelle que soit l’issue à terme, la crise actuelle semble jouer un rôle d’accélérateur de tendances. Cela est notamment perceptible dans le domaine du commerce de détail : confrontée depuis de nombreuses années à des limites de son modèle, la distribution physique va sans doute devoir saisir l’occasion de se réinventer. Nous étudierons ici, dans quelles mesures ce secteur est affecté par le covid-19 devenant accélérateur de tendances.
Nous avons évoqué dans la première partie de cet article ce qu’est l’Intelligence Artificielle et coronavirus (IA) et pourquoi elle semble omniprésente en ces temps de crises sanitaires. Dans cette deuxième partie, nous traitons du rôle qu’elle pourra jouer lors du déconfinement prévu pour le 11 mai.
Au-delà de la crise du Covid-19, l’année 2020 restera comme une année charnière concernant le mouvement global de digitalisation des économies. Pourtant, face au Covid-19, les “GAFAM” (Google Amazon Facebook Apple Microsoft) ont continué à afficher une santé insolente alors que l’économie mondiale a été, par ailleurs, durement impactée. En France, alors que les épisodes de confinements ont mis à l’épreuve des pans entiers de l’économie, Amazon a confirmé son statut. Pourtant cette domination croissante de ces champions semble les exposer de plus en plus aux critiques.