Quelle que soit votre résidence fiscale, vous pouvez investir dans l'immobilier et les PME, et optimiser votre imposition.
Si vous êtes « non-résident » vous pouvez toutefois avoir accès à des investissements situés dans un autre pays. L’avènement de l’euro notamment a permis de définir une large zone économique partageant la même monnaie et facilitant les échanges internationaux. Que vous soyez un expat temporairement établi à l’étranger ou tout simplement un citoyen d’un autre pays résidant à l’étranger et désirant investir en France, vous pouvez grâce aux moyens de communication et aux plateformes en ligne facilement investir dans des actifs situés en France.
Que vous soyez expat ou tout simplement un étranger depuis votre pays de résidence, vous avez la possibilité d’investir en France dans différent type d’actifs qu’il s’agisse d’immobiliers, d’actions, d’obligations ou de fonds d’investissement...
En tant qu’étranger, avant de réaliser votre investissement dans un autre pays, vous aurez cependant intérêt à vous renseigner sur la faisabilité de l’opération : par exemple dans certains pays, il est difficile d’acquérir un bien immobilier en pleine propriété si l’on ne possède pas la nationalité du pays en question ou que l’on n’en est pas résident depuis un certain nombre d’années. Par ailleurs il peut s’avérer prudent de vérifier les conditions et restrictions éventuelles de rapatriement du capital lorsque l’on voudra liquider plus tard son investissement.
Il est important par ailleurs de vérifier la fiscalité qui s’appliquera à votre investissement. Un coût fiscal trop élevé peut en effet fortement impacter l’intérêt de réaliser votre investissement. De même que la restriction pour les non-résidents pour accéder à des dispositifs fiscaux avantageux spécifiques ou des exonérations.
Pour les placements « papier », la généralisation d’internet permet d’avoir accès à des produits dans le monde entier. Chez WeShareBonds par exemple il est possible d’investir facilement 24H24 dans nos projets que vous soyez français ou étranger, domicilié en Chine, en Belgique ou en Argentine…
Pour les modalités générales de vos investissements, plusieurs points sont à retenir cependant :
Pour tout investisseur, la fiscalité est un élément clé à prendre en compte.
En effet outre les pertes éventuelles, l’impact fiscal est le deuxième élément qui impactera le rendement brut et définira votre redement.
Télécharger notre guideLorsque vous investissez dans un autre pays votre fiscalité dépendra de deux choses :
Par exemple, dans le cas d’actifs immobiliers (loyers, plus-value…) la fiscalité sera généralement fixée et due dans le lieu où se trouve le bien. Cependant dans le cas de placements financiers directs (actions, dividendes, obligations) la fiscalité sera plutôt due dans le lieu de résidence fiscale.
Chaque état concerné (celui où se trouve l’investisseur et celui où le revenu a été généré) va généralement chercher à percevoir le maximum d’imposition. Les Etats-Unis sont ainsi connus pour leur imposition sur le patrimoine et les revenus mondiaux de leurs ressortissants.
Afin d’harmoniser cela et d’éviter notamment les « doubles impositions », les états signent des « conventions fiscales » qui sont des accords bilatéraux permettant de fixer précisément les modalités et le lieu d’imposition. Cependant les résidents de certains pays - dit non coopératifs -et qui n’ont pas de conventions fiscales peuvent s’exposer à des « retenues à la source » très importantes dans le pays où leur investissement a été réalisé.
Si vous passez par une société que vous avez crée dans le pays où vous réalisez l’investissement la fiscalité applicable sera a priori la fiscalité locale liée à la société. Cependant la question va se reposer au moment du versement de dividendes. Par ailleurs certaines société (SCI par exemple) sont dites « transparentes fiscalement » ce qui complique la situation.
Il donc préférable de se renseigner préalablement pour connaitre l’impact fiscal de son investissement. L’analyse peut réserver de plus ou moins bonnes surprises. Ainsi un non-résident européen qui loue un bien immobilier en France sera exonéré de la CSG-CRDS, mais par ailleurs imposé au taux plancher de 20% et à l’impôt de solidarité de 7,5%, ce qui s’avérer supérieur à ce qu’il aurait payé en étant résident français.
Globalement les conventions-fiscales – si elles existent – permettront de clarifier la grande majorité des cas. Les conventions fiscales vont ainsi préciser comment est déterminée la résidence fiscale, comment sont imposés les revenus et les règles pour éviter la double imposition.
Elles peuvent également inclure des règles de « non-discrimination » afin d’éviter un traitement différencié dans un état du fait de la nationalité du contribuable.
Parfois les rapports entre états peuvent amener à des débats pointus : ainsi la France à pendant longtemps imposé les revenus du patrimoine des non-résidents européens à la CSG-CRDS (17,2%).
« L’arrêt Ruyter » - du nom d’un contribuable hollandais – a permis de faire évoluer cette situation. Ainsi selon la législation européenne, un contribuable ne pouvait bénéficier que d’un seul régime de protection sociale (a priori dans son pays de résidence) et cela fixait le lieu où les cotisations sociales étaient dues. Cela allait ainsi à l’encontre de l’attitude de la France (malgré l’argument selon lequel la CSG-CRDS étaient un impôt et non une cotisation-sociale…). A l’issue d’une longue procédure la France a dû renoncer en 2019 à imposer les non-résidents européens à la CSG-CRDS sur leurs revenus de source français. Mais elle a cependant continué pour les extra-européens et a par ailleurs créé une taxe spécifique sur les revenus fonciers via un « impôt de solidarité » au taux de 7,5%...
Via les conventions fiscales plusieurs situations pratiques peuvent se présenter :
Afin d’éviter ou de limiter la « double imposition » plusieurs mécanismes sont possibles :
Dés lors que vous déclarez être non-résident fiscal à WeShareBonds :
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