Pokawa emprunte 300.000 € sur WeShareBonds
C’est durant leur voyage à l’autre bout du monde que Maxime Buhler et Samuel Carre, 26 ans, ont découvert le plat traditionnel hawaïen : Le poké. Grâce à cette découverte, ils ont décidé de lancer un nouveau concept à Paris en livraison à domicile puis d’ouvrir leur premier restaurant Pokawa en juin 2017 boulevard Poissonnière, dans le 2e arrondissement de Paris.
Ils sont aujourd’hui à la tête d’un groupe, dont la holding est la société emprunteuse Pokawa, de 9 restaurants/points de vente et livraison qui ont ouvert au fil des mois dans divers arrondissements de Paris ainsi qu’à Nantes et Nice.
De nouvelles ouvertures sont prévues au cours des prochains mois, notamment à Bordeaux et Aix en Provence.
Ce projet bénéficie d'une vidéo explicative de l'analyste crédit en charge de Pokawa, qui résume en 7min tous les points clés du dossier. Découvrez-la dans l'onglet "Analyse"
Très présents dans la presse et auprès des influenceurs sur les réseaux sociaux (Instagram notamment), Maxime et Samuel ont ainsi accru la résonnance autour de leur nouveau concept de cette façon.
Ils bénéficient également des retombées médiatiques directes de l’utilisation des services de livraison tels que Uber Eats, Deliveroo, Glovo et Lunchr qui font la promotion de leurs produits auprès de leurs utilisateurs au sein d’un marché ayant une forte profondeur.
Les sociétés du groupe ont clos leur premier exercice comptable le 31 décembre 2018, pour un chiffre d’affaires agrégé attendu de 4,8M€ et 0,3M€ d’EBITDA.
Au 31/12/2019, le groupe projette de réaliser un chiffre d'affaires de 6,0M€ et 0,7M€ d'EBITDA, soit une marge EBITDA/CA de 11%.
Il est à noter que l’exercice 2018 est spécifique, certains restaurants ayant un exercice de plus de 365 jours, tandis que d’autres ont un exercice de moins de 60 jours. Par ailleurs, seuls 6 restaurants étaient ouverts en 2018, contribuant aux résultats présentés.
Le groupe Pokawa recherche aujourd’hui un financement de 300k€, amortissable sur 2 ans à un taux d’intérêt annuel de 6,25%. Ce financement a vocation à lui permettre de poursuivre son développement, avec notamment l’ouverture de nouveaux restaurants en province.