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Avec le Covid-19, nombre d’activités « non-essentielles » ont été fermées de manière administrative. Au-delà du cadre habituel, ce sont des mesures spécifiques exceptionnelles à vocation temporaire qui ont été mises en place. L’adaptation progressive de ces mesures pour permettre une vraie reprise sera sans doute au cœur du débat combinant dimension sanitaire et économique, alors qu’un plan de déconfinement le 11 mai doit être annoncé en France.
Les banques françaises se mobilisent pour palier aux conséquences économiques de l’épidémie de coronavirus. La Banque Postale face au coronavirus à décider de soutenir ses clients professionnels et entreprises durant cette crise. Par exemple, en accélérant les demandes de financement à court terme, ou bien en différant gratuitement les échéances de crédits.
Dans le contexte actuel, nous mettons en place un annuaire des contacts face au coronavirus pour faciliter votre recherche en fonction de vos besoins. Nous vous indiquons ici comment rentrer en contact avec les différents interlocuteurs mobilisés dans le cadre des mesures prises contre le coronavirus pour les PME.
Afin d’éviter que la crise liée à la pandémie du coronavirus ne perdure, les banques françaises se doivent d’agir. La plupart soutiennent déjà leurs clients les plus à risque : en accélérant par exemple leur demandes de financement à court terme, ou bien en différant gratuitement les échéances de crédits.
Crédit Agricole et LCL face au coronavirus ont publiées des premières mesures de soutiens à leurs clients professionnels et/entreprises pour les prochains mois.
Face aux conséquences économiques de la crise du Coronavirus, les banques françaises se mobilisent. Dans le cadre des mesures bancaires annoncées, nous avons choisi de détailler les principales mesures de BNP Paribas face au Coronavirus, à destination de ses clients professionnels et entreprises.
La crise actuelle amène de nombreuses sociétés à essayer d’optimiser leur trésorerie. Les acteurs du financement, qu’ils soient prêteurs ou emprunteurs, sont amenés à se poser pour évaluer les situations, discuter et amener des modifications éventuelle aux contrats qui les lient. La restructuration de dette peut également se faire dans des contextes favorables, via des refinancements destinés à profiter des conditions de marché avantageuses. Retour sur quelques éléments de vocabulaire.
Le 28 avril le plan de déconfinement a été présenté par Édouard Philippe, à l’Assemblée nationale. Ce plan prévoit une fin du confinement et des attestations dérogatoires le 11 mai, suivi par une seconde phase le 2 juin.
Samedi 2 mai, le gouvernement a notamment proposé de prolonger l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 24 juillet et a éclairci le cadre du déconfinement lors d’un Conseil des ministres extraordinaire. L’examen de ce projet de loi est prévu lundi 4 mai au Sénat et mardi 5 mai à l’Assemblée nationale, en vue d’une adoption définitive dans la semaine. En voici les principales mesures :
Les conflits entre les professionnels du secteur du BTP et le gouvernement ne cessent de croitre depuis le début de la crise sanitaire liée au Covid-19. L’impact du Coronavirus dans le BTP se fait sentir. Entre volonté de protection des salariés et promotion du maintien de l’activité, le discours du gouvernement n’aide pas toujours à clarifier la situation. Dans son annonce du 24 mars, Bruno Le Maire a conforté la volonté des autorités de maintenir “ un service économique minimum” sans préciser toutefois à quel point le secteur du BTP, jugé essentiel, serait concerné.
Aujourd’hui, l’incertitude ne cesse de croître face à l’impact économique, en plus de sanitaire, du Covid-19. WeShareBonds propose d’examiner les faits à date à travers une série d’articles relatifs à différents secteurs d’activités, et d’apporter quelques réponses – ou a minima des points de réflexion. Nous vous proposons dans cet article d’effectuer une revue de l’actualité du secteur immobilier.
De manière générale, et ce principalement depuis 2015, on a pu observer une tendance croissante de l’investissement immobilier. On note également une hausse constante mais hétérogène des prix (surtout dans des villes comme Paris, Lyon, Bordeaux…). Notamment en raison des hauts rendement associés à l’investissement dans ce secteur. Néanmoins, au vu des récentes mesures et des risques qui pèsent sur l’économie dans sa globalité, la question d’une possible baisse de l’investissement dans immobilier se pose. Il est cependant encore trop tôt pour constater des répercussions réelles.
Face à l’impact économique de la crise du coronavirus, les banques françaises se doivent de prendre des mesures exceptionnelles. Dans le cadre des mesures bancaires annoncées, nous avons choisi de détailler les principales mesures de La Société Générale face au coronavirus auprès de ses clients professionnels et entreprises.
L’INSEE a publié récemment ses premières estimations concernant la baisse du PIB en 2020, avec une chute spectaculaire de l’activité générale et de la consommation d’un tiers au mois de mars. En espérant que la situation s’améliore et pour faire preuve malgré tout d’un peu d’optimisme, quelques secteurs qui résistent au Coronavirus – plus ou moins attendus – ici ou ailleurs échappent à la crise. Des impacts parfois conjoncturels, mais dont certains pourraient également perdurer.
En cette forte période d’incertitude, les entreprises sont amenées à repenser les priorités de leurs recrutements durant la crise du Coronavirus. Bien que certains secteurs soient très impactés par la crise que nous traversons, comme le secteur du service et les commerces de détail (surtout non-alimentaires), d’autres secteurs, comme la vente par internet et les fournisseurs de logiciels de travail à distance, continuent leur activité. Les recrutements de business développer, de développeur web ou encore d’expert en marketing digital restent d’actualité. Mais comment gérer les diverses étapes du recrutement en cette période ?
Signe des temps : on entend désormais parler de prix négatifs. Depuis quelques années, les financiers expliquent d’ailleurs que nous serions rentrés dans l’ère des taux négatifs. Cette situation s’explique avant tout par un déséquilibre du marché, durable ou passager, conjoncturel ou structurel. Une situation où l’on serait prêt à se débarrasser d’un actif « à tout prix ». Pour sortir de cet équilibre peu naturel, la solution passe avant tout par le rétablissement d’un certain équilibre entre l’offre et demande
Cela fait maintenant plus de 6 semaines que le confinement est mis en place en France, et les dégâts sous-jacents sur l’économie réelle sont dévastateurs. Les secteurs impactés par le coronavirus doivent continuer à mettre en place des mesures d’urgence afin de surmonter le risque de liquidités imminent, tout en réfléchissant à des stratégies long-terme pour répondre aux changements post-coronavirus. Nous avions précédemment analysé trois secteurs fortement impactés : tourisme & voyage, mode et habillement, et le transport aérien. Retour sur trois autres secteurs fortement impactés par la crise du coronavirus.
Le coronavirus et ses conséquences économiques pèsent sur le système bancaire français. Les institutions financières se doivent d’agir rapidement afin de soutenir leurs clients les plus à risque. La plupart des mesures mises en place par les banques pour le moment visent à accélérer les demandes de financement à court terme, ou à différer gratuitement les échéances de crédits.
Le groupe BPCE, et ses deux réseaux Banque Populaire et Caisse D’Épargne, ont eux aussi pris des mesures exceptionnelles visant à aider leurs clients professionnels et entreprises.
À l’instar de nombreux pays, l’économie française est entrée en confinement depuis plus d’un mois, et se trouve encore à mi-chemin de la période prévue. La situation évolue au jour le jour, et il est parfois difficile de se projeter. Nous nous sommes intéressés à plusieurs enquêtes sondant les entreprises face au coronavirus :
celle du CPME – L’impact du Covid-19 sur les TPE-PME (auprès de 3416 dirigeants adhérents du 2 au 12 avril 2020),
celles du Comité Richelieu (enquêtes 24-29 mars et 8 au 13 avril 2020),
le sondage OpinionWay pour le compte de l’Union des Auto-Entrepreneurs (UAE, avril 2020),
l’enquête périodique « Observatoire Banque Palatine » réalisé par Opinion Way – 96ème édition – 23 mars au 3 avril 2020 auprès de PME/ETI de 15m à 500 m d’euros de CA, et
le suivi quotidien de l’Opinion des Français pendant la crise sanitaire OpinionWay pour les Echos
Lors de son allocution du 16 mars 2020, Emmanuel Macron a pu semer la confusion concernant les aides au loyer coronavirus des entreprises, en évoquant une suspension pour certaines d’entre elles. Le contrat de bail entraine des obligations contractuelles, mais la crise inédite que nous traversons ne peut-elle justifier d’invoquer un cas de force majeure ? Le confinement qui se prolonge fait par ailleurs craindre un impact allant au-delà de la période actuelle. Enfin, au-delà du bras de fer que peuvent se livrer bailleurs et locataires, serait-il légitime que les mesures de soutien multiples en faveur des entreprises profitent in fine surtout aux bailleurs ? Négociation et bon sens devront sans doute primer pour sortir de cette crise par le haut.
Les gouvernements et banques centrales du monde entier annoncent quotidiennement des plans d’urgence afin de soutenir l’économie. La France a ainsi fait plusieurs annonces, dont la plus spectaculaire est une garantie de 300 milliards de l’état sur les prêts aux entreprises. Dans l’attente de précisions sur les modalités finales, l’examen du projet de Loi de Finances nous permet d’obtenir quelques précisions sur les enjeux et le champ d’application de ce programme intitulé « Plan d’urgence face à la crise sanitaire ».
Avec le prolongement du confinement en France, les employeurs et salariés doivent faire face à de nouveaux défis. Pour les entreprises qui ont choisi d’avoir recours au chômage partiel pour les prochains mois, comment sera gérée la prise de retraite d’un salarié ? On vous éclaire sur le sujet.
Aujourd’hui, l’incertitude ne cesse de croître face à l’impact économique, en plus de sanitaire, du Covid-19. WeShareBonds propose d’examiner les faits à date à travers une série d’articles relatifs à différents secteurs d’activités, et d’apporter quelques réponses – ou a minima des points de réflexion. Nous vous proposons dans cet article d’effectuer une revue de l’actualité du secteur immobilier.
De manière générale, et ce principalement depuis 2015, on a pu observer une tendance croissante de l’investissement immobilier. On note également une hausse constante mais hétérogène des prix (surtout dans des villes comme Paris, Lyon, Bordeaux…). Notamment en raison des hauts rendement associés à l’investissement dans ce secteur. Néanmoins, au vu des récentes mesures et des risques qui pèsent sur l’économie dans sa globalité, la question d’une possible baisse de l’investissement dans immobilier se pose. Il est cependant encore trop tôt pour constater des répercussions réelles.