Nous vous proposons de financer vos actifs. Les financements d’actifs corporels ont notamment l’avantage de permettre des prises de sûretés et de garanties.
Le financement d’actifs peut porter sur des actifs corporels (immobiliers, machines) qui ont une réalité physique ou sur des actifs incorporels (les brevets par exemple). Les financements d’actifs corporels notamment ont l’avantage de permettre des prises de sûretés et de garanties. Vous pouvez emprunter de 100.000€ à 8 millions sur une durée maximale de 7 ans.
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Des financements d'actifs corporels et incorporels
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Le financement d’actifs peut porter sur des actifs corporels (immobiliers, machines) qui ont une réalité physique ou sur des actifs incorporels (les brevets par exemple). Les financements d’actifs corporels notamment ont l’avantage de permettre des prises de sûretés et de garanties (via un nantissement, ou une hypothèque, pour les actifs immobiliers).
Pour fonctionner, une entreprise doit financer ses dépenses courantes, son cycle d’exploitation (BFR, salaires, loyers, etc.) mais également ses investissements.
Investir dans des actifs corporels ou incorporels qui seront portés au bilan est une démarche structurante pour l’entreprise, sa modernisation et tout simplement sa capacité à fonctionner sur le long terme. A l’exception d’une société de pur service d’intermédiation (par exemple réseau d’agents immobiliers), de nombreux secteurs (industrie, loisirs, tourisme, restauration, agro-alimentaire…) nécessitent des investissements en actifs réels pour fonctionner. Ce degré d’exigence est matérialisé par le concept « d’intensité capitalistique ».
Ainsi un intermédiaire sur internet avec un BFR négatif, et peu d’investissement nécessaires (matériel informatique et location de serveurs) pourra éventuellement auto-financer son développement même avec une rentabilité limitée. A l’inverse un opérateur d’une chaine de magasins ou de centres de loisirs aura besoin d’investissements lourds en terme de cash-flow (achat de fonds de commerce, voire d’actifs immobiliers, d’aménagement et d’équipements). De même un industriel aura besoin d’équipements et d’une chaîne de production complète.
Comptablement, leur impact sur les profits sera lissé via les amortissements, mais les « cash-flows » importants nécessaires à court terme devront être financés.
Il existe trois sources principales de financement d’actifs :
Le financement en fonds propre peut être à la fois chronophage s’il nécessite une levée de fonds externe. Et entrainer une dilution du capital et une évolution de la gouvernance. Il est a priori plus onéreux pour les actionnaires (les rendements sur le capital exigé étant généralement de 15% à 20%). Dans la mesure du possible, et dans certaines limites, un recours à l’endettement pour financer les actifs sera souvent préférable. Il permettra une utilisation optimale des ressources propres de l’entreprise via un effet de levier et multipliera la capacité de développement de l’entreprise.
L’avantage des actifs corporels est d’avoir une existence physique et a priori une valeur tangible en permettant des prises de sûreté supplémentaires elles permettent aux prêteurs de s’affranchir en partie de l’analyse des cash-flows. A la différence des actifs incorporels où ces notions sont plus floues (dans ce cas il sera souvent exigé des garanties ou des cautions complémentaires). Les banques sont de fait plus enclines à financer des actifs corporels (immobiliers par exemple) car disposer de sûretés réelles leur permettant de sécuriser leurs prêts.
Par ailleurs cela a un impact sur leur capacité d’intervention. En effet les engagements des banques sont pondérés en fonction de leur nature et ne doivent pas dépasser un certain multiple de leurs fonds propres (ratios Bale III, Bale IV). Les prêts disposant d’une garantie (par exemple le PGE garanti par l’état) ou d’une sureté sur un actif sont beaucoup moins (voire pas du tout) pondérés ce qui augmente la capacité des banques à prêter.
Le financement en crédit-bail est un mode de financement d’actifs spécifique qui offre plusieurs avantages. A la différence d’un financement bancaire classique il permet de financer la totalité du bien y compris la TVA et il apporte de la souplesse via des modalités contractuelles particulières : pendant la durée du contrat, le bien visé (un équipement, un immeuble…) est mis à disposition de l’entreprise (« crédit preneur ») qui verse un loyer au « crédit bailleur ». L’utilisateur dispose d’une option d’achat à termes à un prix résiduel convenu. Comme la société ne possède pas le bien ce dernier n’est pas inscrit à son bilan, cependant la somme des loyers prévus jusqu’à l’échéance du contrat sont mentionnées en tant qu’engagement « hors-bilan ».
La charge des loyers est intégrée dans le calcul de l’EBE. Néanmoins cette vision est économiquement biaisée puisque les loyers ne sont pas versés totalement à perte (ils comportent une part de frais financiers et une part qui contribue à diminuer le prix de rachat résiduel). La norme comptable IFRS, impose d’ailleurs de retraiter cette présentation en réintégrant l’actif, la dette associée et les frais financiers comme s’il s’agissait d’un financement bancaire classique.
Malgré un coût financier supérieur à celui d’un crédit bancaire classique, le crédit-bail permet de profiter d’une certaine flexibilité opérationnelle : s’il apparaît que la valeur résiduelle est inférieure à la valeur de marché car l’équipement est obsolète, la société ne sera en effet pas tenu de l’acquérir.
Un autre mécanisme lié : le « lease back » permet un financement « a contrario » en utilisant le refinancement un actif déjà détenu. Dans ce cas, la société devient locataire (avec option de rachat) via un contrat de crédit-bail d’un bien détenu en propre. La cession au crédit-bailleur permet de dégager des liquidités importantes à consacrer à des projets opérationnels (cette technique a été utilisée par exemple par des groupes hôteliers qui ont cédé leurs murs en crédit-bail et utilisé la trésorerie dégagée pour mener des actions marketing et opérationnelles). La solution de crédit-bail peut parfois être proposée clé en main par des sociétés à leurs clients via l’intermédiaire d’un crédit-bailleur. Elle permet un accès facilité aux équipements qu’elles commercialisent via une solution de financement intégrée.
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