Soremi
Crowdfunding immobilier
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L’entreprise familiale reprise par Julien Nessim en 2013 a changé de taille. Cet investisseur immobilier conjugue croissance et gestion du risque avec prudence et succès. Pour financer de nouvelles opérations et le BFR, il a levé 200 keuros.
Aujourd’hui Soremi n’a rien à voir avec la société crée par le père de Julien Nessim en 1993, hormis la structure. Avec en moyenne trois à cinq investissements par an (13,6 millions d’euros d’actifs net, un endettement de 36 millions d’euros pour une valeur d’actifs gérés de 67 millions), il estime : « Avoir créé un cercle vertueux avec des partenaires et des investisseurs qui nous contactent maintenant pour participer à nos opérations. » Des acquisitions où Soremi investit de 1 à 100% mais où l’entreprise assure toujours la gestion des opérations immobilières.
« C’est acheter de nouvelles affaires » s’exclame Julien Nessim. Le jeune entrepreneur de 38 ans (ESCP, Dauphine) est de facto toujours en mode acheteur/vendeur. Son business plan prévoit en effet une revente à deux ans ou cinq à sept ans. « Notre problématique n’est pas la détention patrimoniale à long terme mais de faire tourner les actifs » explique-il précisant « Nous avons à ce jour 15 lignes, des projets et investissements que nous gérons totalement. Qu’il s’agisse des questions juridiques, des travaux, de l’aspect commercial, des loyers (2,5 millions d’euros HT de loyers agrégés en 2016). Nous ne sommes que trois et travaillons avec des partenaires solides et fidèles, avocats, notaires, architectes etc. Etant donné notre développement, je suis en train de recruter un quatrième collaborateur pour m’épauler. »
« Après avoir été salarié dans une entreprise d’investissement quelques années, j’ai choisi de monter ma boîte. Bien sûr avec l’exemple de mon père mais il n’y avait alors dans Soremi qu’un seul actif (une résidence étudiante construite en partenariat avec le Conseil général du 93). Aujourd’hui nous avons pour clients Geodis, DHL, Acadomia etc. 90% de nos investissements sont en Ille-de France, mais nous regardons ailleurs. J’ai ainsi repris à la barre du tribunal une entreprise de logistique au Havre, Buffard Logistique, qui avait des actifs immobiliers intéressants. Avec mon partenaire qui lui a repris l’activité, nous avons réussi à remettre l’entreprise à l’équilibre, même si elle reste encore fragile. » raconte Julien Nessim qui partage le capital de Soremi avec son frère Thomas. « Dans l’immobilier, La partie financement est toujours sensible, même si on a des partenaires de confiance pour nos demandes de crédits. J’ai toujours regardé avec intérêt le financement participatif qui pour moi est complémentaire pour des opérations où le système bancaire a ses limites. J’ai d’ailleurs déjà mis personnellement un petit ticket sur des projets immobiliers via une plate-forme de crowdfunding. » explique-t-il, précisant « Un projet aux USA où je n’aurais pas eu accès facilement normalement. C’est génial ! »
« Nous avons levé 200 keuros en novembre et j’ai réalisé en janvier une opération dans le 19ème, tout un lot rue Simon Bolivar, pour 1,8 millions d’euros. Nous allons rénover, créer des boutiques, des logements, que nous revendrons d’ici deux à trois ans. » résume Julien Nessim concluant : « Notre défi aujourd’hui, c’est pouvoir organiser au mieux les moyens financiers et humains afin d’avoir une bonne gestion des risques tout en nous développant. A vouloir aller trop vite, on risque d’aller dans le mur ! »
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