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Première expérience de crowdlending pour l’éditeur de logiciels Stepnet. Il lève 100 Keuros pour attaquer le marché des franchiseurs avec son nouveau logiciel Smart Publish.
Le tout nouveau Président de la célèbre école française de gastronomie Ferrandi (élu le 6 avril dernier), Jean-Paul Rigal est un entrepreneur curieux et attentif aux évolutions économiques et sociétales. Ancien Directeur Général d'Apple Europe Centrale et de l'Est, il voit le tsunami internet envahir le monde et créé Stepnet en 2000 avec un ingénieur informaticien pour développer un logiciel SAAS pour la gestion de contenu. « C’était le moment pour se lancer, raconte-t-il, et j’avais envie d’associer nos deux cultures, ingénieur et commercial. » 17 ans après, Stepnet compte 40 salariés (20 pour Stepnet Ingénierie et 20 pour Stepnet Systèmes et réseaux) et réalise un chiffre d’affaires de 2,5 millions d’euros. Avec pour clients essentiellement des grands comptes comme Société Générale, BNP Paribas, Michelin, Arval, Capgemini (70% du chiffre d’affaires).
« Mais notre chiffre d’affaires depuis quelques années stagnait, il nous fallait trouver un nouveau développement commercial, et donc investir », pose l’entrepreneur installé à Antony.
« Nous avons fait une étude de marché pour évaluer les potentiels de notre dernier développement, Smart Publish, sur une population concernée par notre solution de marketing digital, les franchiseurs et les franchisés. Le besoin d’outils de publication de contenu (flyers, plaquettes, magazine ou autres supports de communication pour des opérations spéciales) qui peuvent en même temps respecter les codes visuels de la marque (couleurs, logo, etc). En général les entreprises passent par des agences de com et studios de graphistes pour ce type de publicité de proximité. Avec notre solution qui se présente comme une interface de type Google, ils peuvent aussi imprimer eux-mêmes leurs messages sur une imprimante couleur » explique Jean-Paul Rigal. Restait à mettre en place une force commerciale dédiée. « Les banques et BPI ne financent pas les investissements immatériels (sans garantie donc) comme le recrutement d’un technico-commercial. Soit c’était de l’autofinancement, soit je trouvais un autre mode … J’avais regardé avec intérêt les plateformes de crowdfunding comme Kisskissbankbank » ajoute cet entrepreneur décidément éclectique, initié au financement participatif avec l’association des Amis du Musée de la Toile de Jouy. « En cherchant sur le web, j’ai découvert WeShareBonds et ai été tenté parce que l’idée d’être financé par d’autres entrepreneurs me plaît bien. J’aime ce côté club d’entrepreneurs » ajoute-t-il, précisant « J’ai demandé … le minimum ! soit 100 Keuros » en chef d’entreprise prudent, curieux de voir le buzz autour de son projet.
Le pari s’est vite réalisé. Le dossier a été monté en moins de deux mois, la collecte bouclée fin septembre et les fonds décaissés en novembre. « J’ai été impressionné par le screening mis en place. Ils vont vite ! Et ce que j’ai apprécié -je l’ai constaté avec un entrepreneur auquel ils ont refusé de candidater- c’est qu’ils expliquent pourquoi (en l’occurrence une organisation juridique pas lisible). » Depuis il a embauché un techico-commercial en CDI et confié une opération de phoning pour prospecter à un cabinet. Et lancé de nouveaux développements pour le même outil mais adapté au web to mail. « C’est la course, il y a du monde sur ce marché, mais notre objectif est de prendre trois ou quatre marques chaque année. On a déjà de bons contacts avec des franchises du bricolage et de la construction individuelle. »
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